Dans le jeu de dupe des acteurs de l’Opposition politique radicale et alliés pour tenter, par tous les moyens, sauf la voie des urnes, d’accéder au pouvoir, ils ont très mal monté et mal interprété leur tout nouveau film de fiction titré : « Haïti en pleine dictature ». Autrement dit, ils ont projeté à la face du monde un film du genre de très mauvais goût, un véritable navet. Une tragi-comédie mal jouée, mal inspirée, démodée, déconnectée complètement de notre réalité, où l’on peine à savoir s’il faut en rire ou en pleurer, où les agresseurs se font très mal passer pour les agressés. Bref ! Où l’art est totalement mis à l’écart.
D’où vient l’inspiration de ce film fictif ?
Un fils de paysan, issu du pays profond, vient d’être élu pour 5 ans (7 février 2017-7 février 2022) à la Magistrature suprême de l’État grâce à son imagination et sa détermination, son ingéniosité. Il se nomme Jovenel Moïse. Un nom qui ne rappelait rien dans les salons des « Grands », parmi les politiciens traditionnels. À peine investi de ses fonctions, a-t-il commencé à s’attaquer à ce système politique et économique qui tient la majorité de la population dans l’extrême pauvreté depuis deux siècles. Même des intérêts mal acquis des investisseurs qui ont supporté sa campagne présidentielle ne sont épargnés.
Aussi ses prises de décisions, telles que fournir de l’électricité 24/24 sur tout le territoire national, lui attirent les foudres, comme les foudres n’ont jamais été attirées . Des politiciens traditionnels, des membres de la société civile, identifiés comme des défenseurs aveugles des oligarques corrompus se liguent jour et nuit contre lui rien que pour lui éjecter du pouvoir et sauver ce système qui est au service d’une toute petite minorité. Mais cette fois c’est sans compter. Les vieilles méthodes ne donnent pas toujours les mêmes résultats.
« Haïti en pleine dictature » un film qu’on aurait dû titrer « Les pyromanes en action » Si ce n’est qu’une manoeuvre pour obtenir le concours de l’International en vue d’instaurer un gouvernement de transition dans le pays.
-Au Parlement Haïtien, ils ont, à maintes reprises, déversé des matières fécales, brisé des matériels de bureaux et accompagné des hommes armés pour empêcher le vote d’un Premier ministre et la loi électorales en toute liberté, après l’expiration de leur mandat, ils crient aujourd’hui à la dictature.
-Dans les affaires, ils ont prêté abusivement et/ou escroqué des centaines de millions, voire des milliards de dollars américains de l’État haïtien quand la justice se met à leur trousse, ils ont pris la poudre d’escampette ou se couvrir d’un chapeau politique, puis ils crient allègrement à la dictature.
-Dans les manifestations pour s’emparer du pouvoir par la transition, ils imposent la violence comme modèle de protestation en toute impunité, quand les forces de l’ordre tentent d’intervenir, ils n’hésitent même pas une seconde de crier à la dictature. Un juge pris la main dans le sac entrain de planifier un coup d’État avec son discours en main et des hommes et des armes automatiques est arrêté en présence de juge de paix, après sa libération forcée, les autres juges crient à la dictature et observent un arrêt de travail indéterminé.
-Dans les espaces de communication, ils ne cessent jamais de faire des incitations à la Violence, diffuser des fausses informations en vue de déstabiliser le pays librement, sans censure aucune, n’empêche qu’ils crient ex cathedra à la dictature.
Dans le secteur religieux, des responsables s’immiscent dans la politique radicale en outrepassant la loi sans même un rappel de leur mission de médiateur, pourtant ils crient à la persécution politique.
De tels agissements on ne peut même pas y penser en Chine, en Corée du Nord, en Syrie, à la République démocratique du Congo, au Biélorussie. Pourtant La présidence de Jovenel Moïse accepte tout ça au nom de la Démocratie.
Haïti en pleine dictature, une fiction réalisée par l’Opposition politique.
Acteurs : André Michel, Youri Latortue, Nenel Cassy, Moïse Jean-Charles, Schiller Louidor, Patrice Dumont, Édmonde Supplice Beauzile, Dario Cyriack, Antonio Cheramy, Rony Colin, Abel Descollines, Marjorie Michel, Rony Timothé, Jean-Renel Sénatus, Youry Chévry, Réginald Boulos, Dimitri Vorbe…
Avec la participation : Mécène Jean-Baptiste, Yviquel Dabresil, Marie-Antoinette Gauthier, Gédéon Jean, Pierre Espérance, Marie-Yolène Gilles, Josué Mérilien, Gérald Bataille, des évêques catholiques, des hommes de loi, Pascale Solages, Velina Charlier, James Belsince, Daly Valet, Samuel Madistin, Blaise Roberto Flanky,…
Scénario et Production : Marvel Dandin, Liliane Pierre-Paul, Jean-Monard Métellus, Hérold Jean-Francois, Rony Colin, Jacques Sampeur, Lunie Jean-Baptiste, Muraille Jean-Myrtho, Osnel Morin, etc.
Antonio Saint-Juste