Dans un micro-trottoir réalisé dans la zone métropolitaine à l’occasion de cette nouvelle année (2021), date marquant le dixième anniversaire de cette compagnie de téléphonie mobile, la population nous livre ses impressions sur la qualité de ses services.
Daniella Saintil, 23 ans, étudiante à l’université, estime que la Natcom a apporté un appui considérable dans ses formations scolaire et universitaire. Car, supporte la jeune fille, grâce à sa carte SIM étudiante, j’ai pu rester connectée en permanence avec le Net pour réaliser des recherches, effectuer mes devoirs et me distraire pourquoi pas. Un avantage que je ne trouve nulle part ailleurs.
Jobby Vilsaint, 24 ans, également étudiant à l’université, avance qu’avec la Natcom tout le monde a droit à la parole. Où que l’on soit et quelques soit sa capacité économique. Quant aux étudiants et étudiantes du pays, ils devraient décerner un plaque d’honneur et de mérite à cette grande compagnie téléphonique pour sa contribution inestimable dans leur formation durant ses dix années de service.
Jeanty Accilien, 47 ans, un commerçant du centre-ville, résidant à la cinquième section communale de la Croix-des-Bouquets, ne manque pas de mots pour qualifier et glorifier le service de la Natcom : « avant l’arrivée de la Natcom, il fallait parcourir des kilomètres, grimper des mornes pour trouver de l’onde afin de recevoir ou de passer un appel téléphonique. Après l’installation de cette compagnie, « ou te mèt anba dlo, w ap jwenn apèl. Nous disons bon travail aux responsables de la compagnie. « Popilasyon an avè yo » Maintenant, nous attendons le service NatCash pour pouvoir effectuer nos transactions à partir de notre téléphone, a-t-il conclu.
Iramène Jean, 73 ans, une veuve habitant à Cité-Soleil, a, quant à elle, fait ressortir l’utilité de la Natcom dans ses actions de bienfaisance. « Moi, tous ce que je peux dire de la Natcom, c’est que cette compagnie m’a soutenue avec des kits alimentaires et scolaires dans des moments ou tout me paraît noir. La Natcom était là pour moi lors du période de confinement et pour la rentrée scolaire, c’est grâce à son accompagnement que mon Bâton vieillesse, mon petit-fils de 12 ans, puisse aller à l’école cette année.
Le Médiateur