Les révélations s’enchaînent contre le Président des États-Unis. Il y a quelques jours, une source proche de la Maison Blanche décrivait le sentiment de « panique générale » qui régnait autour de Donald Trump, touché par une procédure de destitution lancée le 24 septembre 2019 par les démocrates.
Après l’affaire ukrainienne où Donald Trump aurait spécifiquement sollicité son homologue Volodymyr Zelensky pour nuire à son principal rival politique démocrate, Joe Biden, les ennuis s’accumulent et continuent de l’affaiblir.
Selon le New York Times, Donald Trump aurait demandé à son homologue australien de l’aider à discréditer l’enquête du procureur spécial, Robert Mueller, sur l’ingérence russe en 2016. Une révélation, parmi beaucoup d’autres, qui tombe mal pour le Président américain déjà très affaibli.
Comme lors de l’échange ukrainien controversé, la Maison Blanche aurait limité l’accès à la transcription de cet appel à un tout petit groupe de personnes.
Dans un communiqué, un porte-parole du Gouvernement australien a confirmé que Canberra était « toujours prêt à aider et à coopérer avec les efforts permettant d’éclairer les sujets sous le coup d’une enquête ».
« Le Premier ministre a de nouveau confirmé cette disposition dans une conversation avec le Président américain », a ajouté le porte-parole.
De son côté, Donald Trump assure contre toute évidence avoir été la victime d’une « machination ».
Le Sage