LUNDI 20 OCTOBRE 2025.
La vérité administrative sera toujours le bouclier contre les impondérables et la déliquescence institutionnelle.
Si, dans l’antériorité de gestion du Secrétariat général de la Présidence, la corruption pouvait être une maladie, avec le nouveau leadership de Madame Régine Haddad, Secrétaire générale de la Présidence, sous les auspices et sous la protection du Conseil présidentiel de transition, la transparence est une partie centrale de son traitement.
Utiliser la presse et se servir d’un micro pour torturer et massacrer le caractère et la personnalité de la Secrétaire générale de la Présidence, Madame Régine Haddad, et par transmutabilité les conseillers présidentiels de transition, les accusant de corruption, de dilapidation, sans jamais y apporter de preuves tangibles et testimoniales.
L’on sait très bien que le mal de la presse politique se définit par sa capacité à corrompre l’opinion publique et à détruire l’image des autorités sans aucune objectivité.
Aussi, nous savons très bien que le pays est totalement corrompu, mais les bons citoyens et les meilleures citoyennes brilleront toujours par leur différence.
En toute honnêteté administrative et institutionnelle, la Secrétaire générale de la Présidence, Régine Haddad, fait la différence et en est l’exemple de référence, de connaissance et de gestion optimale et légale des lois budgétaires et de finances publiques au Palais national.
Une preuve convaincante et palpable : les conseillers présidentiels de transition ne font et ne pratiquent pas le bénévolat à la Présidence d’Haïti et au Palais national.
Personne n’a jamais dit que les conseillers présidentiels de transition faisaient du bénévolat et étaient venus jouer et remplir leur rôle et leur mission à la Présidence, sans salaire, sans frais, sans prestations, sans prérogatives présidentielles, sans privilèges dus et réservés au Président de la République.
À ce titre, ils sont légalement et constitutionnellement gérés et traités comme le Président de la République, en fonction des décrets et des lois régissant la matière.
Ipso facto, pour tout formaliser et tout régulariser, sur ordre et instructions du CPT, le Secrétariat général de la Présidence adopte et applique légalement la dotation présidentielle.
La fin y justifie les moyens. Le laboratoire de désinformation et d’allégations mensongères contre la Secrétaire générale de la Présidence, Madame Régine Haddad, est lâche, coupable et complice de ce qu’il cache.
Une telle attitude revêt des déguisements inavoués, inavouables d’un secteur mafieux.
Car, un jugement de gestion et d’administration du Secrétariat général au Palais national et de la Présidence doit refuser de se laisser corrompre par la déraison.
Aussi, le devoir d’un journaliste analyste politique est de contester la corruption à tous les niveaux, sans prise déloyale de position partisane et intéressée.
Car le journaliste analyste intègre et honnête se libère toujours de toute transcendance. La transcendance est la corruption de l’imagination, de l’information, de l’observation, de l’analyse.
Au banquet de la communication médiatique corrompue, les calomnies, les accusations, les allégations, les mensonges valent plus que l’information vraie et réelle.
Au demeurant, sur ces entrefaites, la Secrétaire générale de la Présidence, Madame Régine Haddad, apporte un démenti formel aux accusations, aux mensonges, aux allégations sans fondement visant à porter atteinte à sa réputation et à son intégrité.
Docteur Jean Willio Patrick Chrispin