Sans peut-être le remarquer, le phénomène de l’insecurité s’alterne harmonieusement avec la série de mobilisation pour le départ du Président Jovenel Moïse. À chaque échec de tentative de renversement du Président de la République, Jovenel Moïse, constitutionnellement élu, s’ensuit immédiatement une recrudescence effrénée
de cas de tuerie, de vol, de viol… à travers la République depuis quelques temps. Comme si l’insécurité est sous le contrôle d’une main invisible et destabilisatrice.
La dernière en date, est ce phénomène de kidnapping, de morts par balles, de tirs incessants d’armes automatiques qui plonge le pays dans la peur la plus totale depuis après ce grand mouvement de soulèvement de l’Opposition politique radicale baptisée « Pays-lock ». Nos vaillants policiers deviennent la princinpale cible des malfrats qui n’exemptent aucun innocent.
C’est à demander est-ce que la stabilité du Pays est pris en otage par une force à double visage.
Sans langue de bois, des leaders de l’Opposition politique radicale dont Me André Michel et Shiller Louidor, n’ont pas hésité d’inviter la population à recourir à la violence pour s’emparer du pouvoir. Ils ont baptisé chaque série de mobilisations des noms les plus funestes, les plus terrifiants, les plus catastrophiques… Tels que : « Opération Armmagedon », « Pays-lock », « Tsunami politique », pour ne citer que ceux-là. Dieu seul sait ce que serait devenu ce Pays au cas où la masse populaire avait voulu matérialiser l’ambition de ces politiciens.
S’il est vrai que la mauvaise répartition des richesses est l’une des sources de l’insécurité, il est tout aussi vrai que celle-ci sert de tremplin à des malades de Pouvoir. D’où, n’est-il pas nécessaire de séparer le bon grain de l’ivraie afin de faire échec au plans macabres des bandits armés opérant sous couvert de militants ?
Fredo Pierre