Haïti, pays réputé pour des turbulences politiques. Une situation qui ne fait jamais le bonheur de ces citoyens. Beaucoup disent crises socio-politiques et d’autres parlent de crises humanitaires.
Alors que nous ne sommes pas en temps de guerres, des journalistes sont obligés de se protéger avec des gilets pare-balle, des casques de soldats dans des mobilisations pacifiques ou qui se présentent pacifiques sur papier.
Les photojournalistes sont les plus visés. Est-ce une lutte à la destruction du pouvoir de la Presse qui se trouve déjà en décadence vu la rapidité des réseaux sociaux? Est-ce une méthode de diminution de l’information ? Ou la conscience des mauvaises choses que font des particuliers qui se voient obliger de provoquer, menacer et briser les matériels du journaliste.
En effet, des images et vidéos similaires circulent sur les plateformes intelligentes. On attend la Justice, elle semble inexistante et ainsi va la vie. Le journaliste reprend son quotidien sans accompagnement.
Jusqu’à quand ce dernier pourrait faire son travail en toute quiétude tout en respectant les normes du métier; pourquoi la protection de certains journalistes vient seulement des manifestants et d’autres par la police? La presse semble diviser, la PNH semble infiltrer. Il faut un réveil collectif pour remédier cette situation.
Jeunesse haïtienne, peuple d’Haïti du terroir ou d’outre-mer à vous de choisir le meilleur pour votre nation afin que ces actes malhonnêtes ne soient répétés du milieu médiatique haïtien.
Soyons conscients.
Vive une presse équilibrée et protégée.
MassonLeDuck
En mémoire de:
Jean Léopold Dominique
Jacques Roche
Brignol Lindor
Felix Lamy
Legagneur Vladjimir
Pétion Rospide