L’option d’un Pouvoir de transition est de plus en plus chimérique pour les leaders de l’opposition radicale et alliés. Après les États-Unis d’Amérique (USA), c’est le tour de l’Organisation des États Américains (OEA) d’insister pour qu’il y ait des élections dans le Pays. Et par ricochet rejeter totalement l’idée de passer outre de la voie démocratique juste pour instaurer un Pouvoir de transition dans le Pays.
Dans un message publié sur son compte Twitter officiel, le Secrétaire général de lOEA, Luis Almago, a écrit : « Le SG/@OEA_official réitère son soutien à la nécessité de mener un processus électoral en # Haïti dès que techniquement possible et invite en même temps les partis politiques à travailler ensemble afin de renforcer la démocratie dans l’intérêt du consensus. »
À noter que l’Administration Jovenel Moïse met déjà les bouchées doubles en vue de la réalisations des élections pour les deux tiers du Sénat, la Chambres des Députés et les Collectivités territoriales. En ce sens, les neuf membres devant conduire le processus ont installé à leur poste hier mercredi 23 septembre 2020.
John Samson Lauture