À l’occasion du 216e anniversaire de l’assassinat du père fondateur de la patrie, Jean Jacques Dessalines, la Plateforme nationale du secteur populaire haïtien (PLANSPA) exprime sa préoccupation face à cette crise qui secoue le pays et invite les protagonistes à un dépassement de soi à travers un dialogue franc et sincère pour sortir le pays de cette crise politique.
« C’est dans l’incertitude et l’indignation que la PLANSPA a commémoré la mort d’un grand visionnaire tombé pour la justice sociale, la liberté politique, la liberté économique, la sécurité, la paix et le bien-être de toute une nation », lit-on dans une note.
Ainsi en-a-t-il profité de cette commémoration, pour réitérer son appel à tous les secteurs du pays en vue d’emprunter la voie du dialogue.
« Les menaces sont nombreuses. Après la mort de l’Empereur, les menaces se renforcent, elles viennent s’attaquer à la capacité de production et de développement d’Haïti », a poursuivi la note.
PLANSPA croit toujours que l’avenir d’Haïti n’est pas axé sur le jusqu’au-boutisme politique, l’injustice, lz division, l’intolérance, les enlèvements, les meurtres et l’exclusion. Mais l’avenir d’Haïti se repose sur le dialogue, la compréhension, le consensus, l’unité et la paix et surtout sur la démocratie.
« L’Idéal Dessalinien incarné doit être un outil qui permet à tous les Haïtiens de s’asseoir ensemble pour poser toutes les bonnes actions, contribuant à restaurer la souveraineté d’Haïti, en cherchant à construire une société basée sur l’égalité, l’inclusion, la justice sociale, la solidarité, l’amour, le respect des droits de l’homme et le bien-être total de chacun », a insisté cette structure politique encourageant tous les acteurs économiques, politiques, religieux, entre autres à prendre Conscience afin d’orienter le pays vers la pays et le progrèsi ».
À rappeler que cette plateforme politique dirigée par l’ancienne Mairesse de Delmas Yanick Mezile a proné l’Equilibrisme politique. Une doctrine qui ne reflète pas la réalité sociale, politique et économique du pays vue la fragmentation de notre société avec cette politique ôte-toi de la que je m’y mette qui n’en finit pas.
Samuel Jean-Louis