À la veille de la séance de mise en accusation du Président de la République, des organisations, que l’on peut nommer anti gouvernementales, n’ont pas hésité de mettre la poudre au feu.
Des petrochallengers « Nou p’ap dòmi » restés au silence depuis quelques jours ont décidé de sortir de leur caverne avec une tête intimidatrice sachant qu’entre eux la division sème la pagaille. Et les voilà qui mettent la pression aux parlementaires.
Des formes d’intimidation de tout genre sont utilisées pour s’adresser aux parlementaires.
Des photos des parlementaires sont publiés avec des écrits choquants: « Ou avèk nou oswa ou kont nou? » Quel message envoie-t-il à la population?
En dépit de cette séance de mise en accusation, le Président bénéficie de la présomption d’innocence jusqu’à la décision de la Haute Cour de Justice.
Entretemps, il garde son calme et reste sans inquiétude, aucun souci. Au contraire, le Chef de l’État encourage la Justice à faire le travail équitable dans le respect de la démocratie.
Mais la question qui brûle les lèvres de tous: qu’attendent les petrochallengers? Est-ce la recherche de la vérité ou la condamnation?
Lamaria