« Aba ti Nèg Nwé »
Voilà comment un membre de l’opposition décrit Martine Moïse, la Première Dame de la République, une femme de la province.
« Martine fanm pwovens »…
Pourtant il a une femme, il a deux filles qui l’écoutent dans ses bordées d’injures à l’égard d’une femme.
Les vraies ‘’Fanm pwovens’’ ne sont pas celles qu’on croit.
Martine Moïse n’a commis qu’un péché, être la femme de l’homme qui était destiné pour devenir Président de la République d’Haïti en 2017 pour un mandat de 5 ans.
Son titre, elle ne l’a pas volé ni usurpé comme ces pseudos leaders, pseudos intellectuels autoproclamés.
Ce qu’elle incarne aujourd’hui n’est autre que le fruit de la détermination, de la fidélité, du devoir, de l’amour.
Alors pourquoi subitement elle fait l’objet de toutes ces critiques, de toutes ces insultes, de cet irrespect public de la part des chefs de l’opposition et de leurs alliés ?
Jalousie, envie, aigreur… ? Si ces gens pouvaient l’assassiner, ils ne se gêneraient même pas ; elle a réussi là ou personne ne l’attendait.
Tout comme on hait son mari de Président sorti de l’arrière-pays auréolé d’un avenir qui fait des envieux.
On n’aime pas les gens au teint foncé dans ce pays, on déteste les Nègres et les Négersses, surtout les vainqueurs comme le couple présidentiel.
Cette aversion des gens au teint foncé ne date pas d’aujourd’hui.
L’histoire raconte comment Duvalier a été humilié ainsi que le président Estimé ; plus près de nous l’histoire de Jean-Bertrand Aristide nous laisse un goût amer dans la bouche ; on le qualifiait de Petit Père, moun sal, chimère…
Dessalines a été assassiné dans ces conditions, pour ces raisons, ne l’oublions pas.
Rien n’a changé.
Toutes les raisons sont bonnes pour injurier cette femme, cette belle négresse au couleur café, à la fraicheur d’une cayimite, au sourire charmant sur des yeux rieurs d’une beauté angélique. Tout en elle dégage une douceur attrayante, irrésistible.
Il faut être malade, mysogine, fou, envieux pour haïr pareille beauté.
Et pourtant, au grand dam des organisations féminines, dans le silence complice de ces femmes leaders, on assassine sur les réseaux, dans la presse, une fille du peuple, la ravissante Nordesienne, la provinciale Martine.
Voilà pourquoi elle devient la risée des idiots, limités aux tweets et publications sur les réseaux.
Quand on n’a ni lecture ni écriture, on s’abtient de critiquer les autres sans s’informer, sans se former, sans s’instruire avant.
Oui on plante l’eau.
PLANTE DLO
Nou pral plante dlo » signifie mettre en terre des arbres pour protéger le sol, augmenter la pluviométrie des lieux, faciliter une plus grande infiltration des eaux de pluie et réduire les eaux de ruissellement sur les pentes dont la vitesse entraine l’érosion des terres, cause de sérieux dommages et des perturbations en aval (plaine, ville, littoral et mer).
« Nou pral plan dlo » implique aussi la conservation des sols pour stabiliser les terres, faciliter l’infiltration de l’eau et une meilleur valorisation des terres. C’est en outre la promotion de l’agroforesterie.
Extrait d’un texte de Abner Septembre, Ministre de l’environnement , écrit le 2 octobre 2020.
Donc, la première Dame n’a commis aucune erreur en conseillant aux agriculteurs et agricultrices de PLANTE DLO , cela signifie PLANTE PYEBWA , FÈ REBWAZMAN en se basant sur le texte du Ministre de l’environnement .|JACMEL INFO.
Honneur et Respect pour notre Première Dame, Martine Moïse.
Yvon Metellus