À peine arrivé à la tête du Ministère des Affaires Sociales et du Travail (MAST), le professeur, Georges Wilbert FRANCK a déjà marqué les esprits par son dynamisme et son approche novatrice. En seulement deux semaines, le politologue a rencontré la majorité des services centraux du ministère, une première dans l’histoire récente de cette institution. Cette démarche proactive a été saluée par les employés, qui ont profité de l’occasion pour présenter leurs doléances tout en reconnaissant les défis structurels et conjoncturels auxquels le nouveau ministre doit faire face.
Les employés du MAST ont lancé un appel vibrant au Premier Ministre Garry Conille et aux membres du Conseil des Politiques Sociales (CPT) pour transformer le ministère en une vitrine stratégique de la lutte contre la pauvreté, exacerbée par l’insécurité, les kidnappings, la délocalisation des ménages, la baisse des activités socio-économiques et la décapitalisation des petites et moyennes entreprises. Ils soulignent également l’importance de la protection sociale des travailleurs, de la formation professionnelle des jeunes, et de la réduction de la paupérisation de la classe moyenne.
Le ministre FRANCK, lors de ses rencontres avec les représentants des agents et cadres du MAST, a insisté sur le respect des principes administratifs, la participation, la transparence, et sa détermination à combattre la corruption. Le syndicaliste a réaffirmé sa volonté de mettre l’État au service de la population et du territoire, malgré les forces occultes cherchant à privatiser le ministère. Les employés, conscients des défis à venir, ont exprimé leur soutien total au ministre dans l’accomplissement de sa mission.
Toutefois, les défis sont nombreux, mais avec un leadership fort et une vision claire, le ministre Georges Wilbert FRANCK semble déterminé à redonner espoir et dynamisme à un ministère longtemps en proie à des agendas cachés de certains personnes voulant par tous les moyens s’opposer au changement en cherchant toujours des boucs émissaires pour innocenter les vrais responsables. Le nouveau ministre se laissera-t-il prendre ?
Jean-Samson Étienne