L’ancien candidat malheureux à la présidence, Me Samuel Madistin, se réjouit du régime des sanctions imposées par les Etat-Unis et/ou le Canada à ses adversaires politiques. « Les personnes visées par les sanctions Internationales doivent être écartées des prochaines élections », propose le politicien brusquement devenu défenseur des Droits humains, à travers une note publiée par la Fondation Je Klere (FJKL).
L’homme de loi a tellement hâte de neutraliser ses probables compétiteurs, oublie qu’il n’y a pas d’accusation sans preuve. Il exige que le prochain décret électoral devra prévoir une disposition susceptible d’écarter des prochaines compétitions électorales ces personnes sanctionnées. Ceci, sans exiger de ces deux puissances de l’Amérique du Nord la moindre preuve ni attendre le résultat d’aucune enquête.
À dire vrai, l’ancien sénateur du département de l’Artibonite a bien travaillé pour traîner ses adversaires face à cette nuisible situation. Que de rapports biaisés n’a-t-il pas produits pour assassiner leur caractère tant à l’échelle nationale qu’internationale avec son organisation de Droits humains. Aujourd’hui, Me Samuel Madistin est sur le point d’atteindre son objectif visé. Mais aura-t-il réellement raison de la Vérité et du Droit pour se hisser enfinbà la présidence de la République ?
Jean-Marc Maximilien