Des messages pour demander justice pour le Président Jovenel Moïse se multiplient sur le compte tweeter du secrétaire général de (ADECTRAH), à seulement quatre jours de la date de son assassinat dans sa résidence privée située à Pèlerin 5.
Dans un tweet, fait le 1er juillet, Mackenson Cangé a rappelé que 7 juillet marquera la première année depuis l’assassinat sauvage du président Jovenel Moïse. Cependant, le militant politique dit n’aller pas célébrer la date de son anniversaire le 4 juillet, car il s’engage de préférence avec le comité 100 % diaspora, AmiJomo, RJD, ADECTRAH, etc. pour commémorer le premier anniversaire de cet assassinat. Mr Cangé réaffirme, à qui veut l’entendre, que la bataille pour exiger justice pour Jovenel Moïse ira jusqu’au bout.
Dans un autre écrit le 2 juillet, Mackenson Cangé a tiré cette conclusion : « Un prophète n’est jamais honoré dans sa propre patrie. Le sort des dirigeants qui vise le développement d’Haïti se résume soit à l’exil, soit à l’assassinat. Il en a profité pour s’adresser ses anciens dirigeants du pays tué pour la cause d’Haïti : L’Empereur Jean-Jacques Dessalines, Président Dumarsais Éstimé, Président Jovenel Moïse, les assassins vous ont eus certes, mais ils ne pourront jamais vous disparaître de la mémoire du peuple haïtien. »
Dans son troisième message, l’homme, qui tient mordicus à exiger justice pour Jovenel Moïse, a exprimé sa peine à l’approche de la date du 7 juillet : mon âme est envahi par la tristesse, mon coeur endolori, quand je pense que la date du 7 juillet fera une année depuis qu’on a assassiné le Président Jovenel Moïse. Cet acte crapuleux a plongé toute la population dans une profonde douleur. Aussi, Mackenson Cangé a-il fait cette interrogation : « L’État, jusqu’à quand l’arrestation des assassins qui ont financé et participé dans l’assassinat du Président Jovenel Moïse ?
Maryne Etienne