Le gouvernement Canadien dirigé par le Premier ministre canadien, Justin Trudeau devient de plus en plus embarrassé avec ses régimes de sanctions imposées à des membres de l’élite politique et économique d’Haïti pour leurs prétendues relations avec des gangs qui gangrènent le pays. Notamment, les anciens anciens Premiers ministres Laurent Lamothe et Jean-Henry Céant.
Attaqué, d’une part, sur le plan judiciaire par l’ancien Premier ministre haitien Laurent Salvador Lamothe qui dit n’avoir jamais aucun rapport avec des gangs et qu’il est prêt à défendre son intégrité morale jusqu’au bout ; dénoncé, d’autre part, par le Premier ministre Jean-Henry Céant qui exige les preuves de sa culpabilité ; maintenant, c’est le tour de l’organisation de Droits Humains Sans Frontières (DHSF) de porter plainte contre son gouvernement auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH).
Car, selon le résultat du rapport sur les droits humains fait par cet organisme international en Haïti, ces accusations portées contre les deux anciens chefs de Gouvernements, ont l’air de commérages. Car elles ne sont basées sur aucune preuve. Aussi elle demande réparation pour les dommages causés à ces deux personnalités haïtiennes.
« Ces dirigeants ont combattu contre l’armement et le pouvoir incontrôlés des organisations criminelles en Haïti » a soutenu le DHSF qui dit voir derrière ces sanctions « ceux qui ont de plus grands intérêts dans ce pays, qui veulent annuler tout type d’opposition et de principe d’autorité pour maintenir ce climat d’anarchie et de violence ».
Selon des observateurs avisés, le Premier ministre Justin Trudeau a bel et bien été induit en erreur en sanctionnant injustement certaines personnalités sur la base de rumeurs, de commérages… Surtout après avoir vu le nom du brillant avocat Salim Souccar ajouté à la liste des deux derniers sanctionnés. Un homme, estiment-ils qui a une carrière exemplaire dans la profession d’avocat.
Marc Alciné Dorléus