Des individus s’amusent à écrire sur Twitter au nom de la Cour supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSC/CA), alors qu’officiellement la Cour ne dispose pas de compte twitter !
Dans une note publiée le 13 décembre 2018, le président du Conseil de la CSC/CA, Pierre Volmar Demesyeux, informe le public en général, que la Cour ne dispose pas de compte twitter.
Des individus mal intentionnés et non identifiés ont enregistré un compte twitter au nom de la Cour Supérieure des Comptes et publient des informations relatives au dossier d’audit du fonds PetroCaribe.
Paraît-il que certaines personnes ne voudraient pas que le dossier suit son cours et que certaines vérités puissent être dévoilées ! Mais l’interrogation qui sucite la plus grande curiosité est : Qui se cache (nt) derrière ces actes mafieux ? Est-ce une personne qui se sent menacée ou bien quelqu’un qui souhaite assurer ses arrières ?
Ce qui est évident, c’est que ce dossier de PetroCaribe fait peur à beaucoup de personnes et implique tellement de grosses légumes que la Cour Supérieure des Comptes semble ne plus pouvoir le contenir !
Même si la Cour rejette ces informations et comdamne cette entreprise mafieuse et cybercriminelle, par contre ceci n’empêche pas aux auteurs et aux complices de ces actes d’atteindre leur but qui est d’augmenter la confusion autour du dossier PetroCaribe. Et on pourrait qualifier de telles actions, d’atteinte à la sûreté de l’État et d’entrave à la Justice.
Tout de même, toujours dans la note du 13 décembre 2018, la Cour a profité pour rappeler à la Nation haïtienne son engagement à soumettre le rapport d’audit du fonds PetroCaribe au Sénat de la République en janvier 2019.
Le Médiateur