Après les événements du 9 juin, le pays se réveille dans un silence troublant. Le mot « lock » vient s’ajouter à la liste de notre petit vocabulaire maigrichon.
Après un mois de février « lock« , le mois de juin en devient « lock » aussi.
Tout le monde se fait du souci, se demandant comment sera le lendemain.
Toutes les activités sont paralysées dans la ville.
Tout ne s’arrête pas là. Les examens officiels arrivent à grands pas et l’on se demande où l’on est.
Tout devient le chaos total dans ce pays où les demandes ne sont pas communes et où les intérêts individuels passent avant toute autre chose.
Lamaria