Quand Jovenel Moïse suscite des vocations et fait des jaloux. Le goût de la victoire est souvent personnel tandis que son fruit est collectif.
Le temps, la réalité politique et économique semblent donner raison au Président de la République.
Est-ce que cela dérange ?
ÉNORMÉMENT !!!
Alors que l’opposition est prise en flagrant délit de complot contre le peuple, de deal maffieux pour assouvir des intérêts, les résultats des actions courageuses et pragmatiques de Jovenel Moïse créent des ondes de choc qui se transforment en admiration pour les citoyens honnêtes, conscients et en horreur pour les fossoyeurs et les mercenaires.
Donnez à César ce qui lui revient !
Cependant, il y a un bémol ; même si le leader de Pitit Desalin, Jean-Charles Moïse reconnaît la dextérité, la clairvoyance des décisions qui ont augmenté la côte de la gourde face au dollar, synonyme de baisse de la vie chère, regain de l’économie, soulagement pour la masse, il ne veut pas pour autant concéder tout le mérite à son adversaire du moment, en l’occurrence le Président Jovenel Moïse.
Et dire que le leader n’a pas laissé un pouce de terrain au Président pour exercer son mandat.
Il a joué le rôle d’oiseau de mauvaise augure en annonçant des jours sombres pour le peuple avec un ton de reproche pour avoir voté contre lui.
Il faudra demander aux animaux conseils disait-il, quand viendra le temps de manger des herbes avec Jovenel Moïse comme Président.
Et pourtant, la gourde a repris de la valeur, le sourire revient sur les visages des petites bourses et c’est sous le leadership de Jovenel Moïse.
Entre le goût de la victoire personnelle et la fanfaronnerie, Jovenel Moïse a choisi le fruit collectif de la victoire pour tous, principalement la masse.
Cela déplaît et dérange semble-t-il, les éternels ennemis de ce peuple martyrisé…
Jean-Charles Moïse serait-il jaloux … ?
Raymond JULES