Contacté ce lundi 29 août par la rédaction du journal en ligne Le Médiateur concernant une publication circulant sur les réseaux sociaux relative au dossier de trafic d’armes qui secoue actuellement l’Église épiscopale d’Haïti, l’un des responsables du secrétariat privé de l’ancien Premier ministre Laurent Salvador Lamothe, a qualifié cette susdite publication de « fake news », un anglicisme très populaire qui se définit dans la langue de Voltaire comme fausses informations ou intox.
« Comme disait l’autre, le méchant fait toujours une œuvre qui le trompe ». Cette publication qui comporte pourtant la photo de l’ancien Premier ministre Laurent Lamothe, n’est inscrite nulle part sur sa page Facebook. C’est une énième « fake news », a-t-il réagi. D’ailleurs, l’église a grandement contribué à l’éducation de l’ancien PM et il l’a toujours rappelé. De plus, une fois que le dossier est par devant la Justice, l’ancien Premier ministre ne s’y serait pas prononcé.
L’interrogeant sur la motivation d’une telle initiative, le responsable croit que l’ancien Chef du Gouvernement devient la cible des politiciens et oligarques corrompus pour avoir dirigé le pays en Homme d’État courageux, visionnaire et dynamique. « Le climat sécuritaire du pays, la redynamisation du secteur touristique, le démantèlement des puissants gangs, sa politique de Justice sociale sous son administration et surtout, sa détermination pour que toute la lumière soit faite autour de l’assassinat crapuleux du Président Jovenel Moïse sont entre autre les crimes commis aux yeux de ses persécuteurs a-t-il avancé.
« c’est un laboratoire mis en place pour assassiner le caractère de Laurent Lamothe de peur qu’un jour la population ne lui retourne pas l’ascenseur. C’est vraiment désolant. L’ancien Premier ministre n’est pas du lot de ces politiciens traditionnels qui pensent qu’il faut être au pouvoir pour servir la République. Il l’a prouvé à travers sa fondation de bienfaisance et ses différentes sorties dans les plus grands médias internationaux pour défendre la cause de son pays qu’il aime tant », a-t-il conclu.
Naïka S. Saint-Vil