Alors que le Conseil présidentiel de transition s’apprête à désigner la personnalité qui occupera le poste stratégique de Premier ministre, un nom émerge avec force et sérénité : Jean Michelet Mondestin. Dans un contexte où le pays est ébranlé par les crises politiques, économiques et sociales, son profil se distingue par la compétence, l’intégrité, et une vision claire du renouveau national. À la croisée de l’incertitude et du besoin pressant de changement, Mondestin apparaît comme un homme de rupture… mais aussi d’espoir.
Formé dans de prestigieuses universités à l’étranger, Jean Michelet Mondestin possède une expertise multidisciplinaire allant de l’économie au développement durable, en passant par les politiques publiques et les relations internationales. Ce parcours académique rigoureux l’a non seulement doté d’une solide capacité d’analyse, mais lui a aussi permis de tisser un vaste réseau international. Son carnet d’adresses, précieux atout pour un pays en quête de coopération et d’investissements, est à la mesure des enjeux actuels.
Mais ce serait réducteur de ne voir en lui qu’un technocrate. Mondestin est aussi un homme d’action, proche des réalités du terrain, impliqué depuis plusieurs années dans des initiatives de développement communautaire, d’éducation et de réconciliation sociale. Homme de bon commerce, il sait dialoguer avec les acteurs les plus divers, et bâtir des ponts là où les clivages semblaient insurmontables.
Cadre aguerri de l’administration publique, Jean Michelet Mondestin a occupé plusieurs postes de responsabilité tant au niveau national qu’international. Il a notamment été directeur des Collectivités territoriales au ministère de l’Intérieur et des Collectivités territoriales (MICT), où il a œuvré à la modernisation et à la structuration de la gouvernance locale. Son expérience institutionnelle renforce sa capacité à piloter des réformes structurelles dans un contexte de transition.
Pour beaucoup, sa candidature incarne une promesse rare : celle d’un leadership à la fois compétent, lucide et profondément humain. Il est l’un des rares profils à rallier les attentes de la population, le respect des institutions, et la confiance de partenaires internationaux. En lui, certains voient non seulement un Premier ministre de transition, mais un architecte possible du redressement.
Dans un moment où l’espoir semble enfoui sous les décombres de l’insécurité et de l’instabilité, Jean Michelet Mondestin symbolise la possibilité d’un sursaut national. Une figure d’équilibre pour engager le pays sur la voie d’une refondation durable. Reste à savoir : sur qui les Conseillers-Présidentiels jetteront leur dévolu et sur quelle base ?
Jean-Samson Étienne